SAUTEUR, nom

règle-cordial

Définition de sauteur

nom masculin singulier
  1. Cheval d'obstacles.
  2. Insecte qui se déplace par sauts.
  3. Athlète spécialisé dans les épreuves de saut.
  4. (familièrement) Individu peu sérieux sur lequel on ne peut pas compter.

Synonymes de sauteur


Contraires de sauteur


Exemples d'utilisation de sauteur

qualités de sauteur
"Et voici que, dévalant à une vitesse prodigieuse, décollant de plus de quarante mètres sur les bosses, confirmant ses qualités de sauteur habitué aux glandes vitesses." (Roger Frison-Roche 1981 "Le versant du soleil")

ancien sauteur
"est un ancien sauteur à ski yougoslave." (www.wikipedia.org 2007 "Extrait de l'encyclopédie Wikipédia")

bon sauteur
"Solide, bon sauteur, il aimait gagner:" (Frédéric H. Fajardie 1997 "Sous le regard des élégantes")

meilleur sauteur
"chose que j'étais plus qu'un autre à même de faire, ayant personnellement connu les meilleur sauteurs de l'Antiquité." (Alexandre Dumas 1848 "Le Collier de la Reine")

sauteurs français
"ils étaient à peu près vêtus comme de petits sauteurs français." (René Caillé 1830 "Voyage à Tombouctou")

le sauteur retombe
"Car enfin, il faut bien que le sauteur retombe, que la latte de bois hésitante reste dans les taquets ou voltige dans la fosse, que le temps reprenne son cours." (Antoine Blondin 1988 "L'ironie du sport")

sauteur de corde
"Jusqu'à l'âge de vingt-cinq ans, il avait exercé, çà et là, la respectable et triple profession de marchand de vulnéraire, avaleur de sabres et sauteur de cordes." (Paul Féval 1843 "Le Loup blanc")

sauteur de mur
"Mais nous lui voyions son visage de sauteur de murs, son regard qui mesurait les obstacles." (Sidonie Gabrielle Colette 1930 "Sid")

sauteur de son temps
"c'était le premier escrimeur, le premier tireur, le premier sauteur de son temps." (Henri Beyle, dit Stendhal 1837 "Le Rose et le vert")

sauteurs de haies
"À la fin du siècle dernier, une petite tribu d'Une huitaine de besogneux (y compris l'ancêtre qui se momifiait dans son coin en suçant une pipe éteinte, la mère et la fille dures comme le fer, et deux ou trois jeunes sauteurs de haies plus souvent au milieu des chèvres que sur les bancs de la communale) hantait ce délabrement, et, ma foi, trouvait encore de quoi faire bouillir la marmite." (Jean Carrière 1972 "L'épervier de Marieur")







Une question, une suggestion  ? Écrivez-nous !

Copyright @ Synapse Développement 2019