FESSE, nom

règle-cordial

Définition de fesse

nom féminin singulier
  1. Anatomie. Chacune des deux parties charnues et musclées qui font saillie à la partie postérieure du bassin de l'homme et de quelques animaux anthropoïdes.
  2. Partie de la voûte d'un navire.


Synonymes de fesse


Exemples d'utilisation de fesse

pain de fesses
"Danga, qui veille à sa retraite, rabiote le pain de fesses sans se soucier du préjudice causé à la boîte." (Achille Ngoye 1996 "Agence Black Bafoussa")

paire de fesses
"Tout devenait possible devant une pinte de bière brune, tandis qu'une paire de fesses ondulait sur une estrade." (José Giovanni 1995 . "Il avait dans le coeur des jardins introuvables")

peau des fesses
"Inutile d'ajouter que cette prestation au grand complet coûte la peau des fesses." (Francis Ryck 1987 "Autobiographie d'un tueur professionnel")

raie des fesses
"Alors, l'un des bourreaux lui envoie un coup de nerf de bœuf juste dans la raie des fesses et la pointe est sûrement allée bien plus en avant encore que les parties sexuelles." (Henri Charrière 1969 "Papillon")

belles fesses
"Les belles fesses." (Donatien Alphonse François de Sade, dit Marquis de Sade 1791 "Justine ou les malheurs de la vertu")

jolies fesses
"on la colle, les fesses contre les cuisses de Zéphire, et le duc, foutant pour ainsi dire à la fois une fille et un garçon, pour y mettre encore plus de lubricité, branle le vit de Zéphire sur les jolies fesses rondes blanches d'Augustine et les inonde de ce petit foutre enfantin qui, comme on l'imagine bien, excité pour une si jolie chose, ne tarde pas à couler abondamment." (Donatien Alphonse François de Sade, dit Marquis de Sade 1785 "Les Cent Vingt journées de Sodome")

petites fesses
"Un jeune type avec des petites fesses dures et un sexe comme une batte de base-ball." (Serge Brussolo 1996 "La Fille de la nuit")

fesse droite
"La photo où je l'embrasse comme si je voulais l'avaler, avec une tarte à pompon sur la tête et un tricot de marin rayé qui laisse voir mon grain de beauté sur la fesse droite, vous l'avez forcément vue dans la salle d'attente d'un dentiste ou chez le coiffeur." (Sébastien Japrisot 1978 "La passion des femmes")

fesse gauche
"C'est la fesse gauche, heureusement, qui a porté." (Jules Romains 1923 "Knock ou Le triomphe de la Médecine")

fesses bien serrées
"Alors qu'elle gravit les marches de ses cuisses et fesses bien serrées, il imagine le corps de la femme totalement asséché, gouverné par la rentabilité." (Hélène Couturier 1996 "Fils de femme")

fesses nues
"L'homme montra ses dents en un rire muet au souvenir de toutes celles, maigres et grasses, brunes et blondes, qui s'étaient soudain décollées de lui pour courir, fesses nues, vers la porte, sous le coup de boutoir du destin." (Pierre Magnan 1978 "Le commissaire dans la truffière")

fesses rebondies
"Alors les deux jeunes gens approchèrent le tableau du visage du chef de l'équipe, et celui-ci, modestement, déposa un timide baiser sur ces fesses rebondies." (Marcel Pagnol 1977 "Le Temps des amours")

fesses rondes
"Pigent posa ses mains sur les hanches de la jeune fille, puis sur ses fesses rondes et musclées." (Frédéric H. Fajardie 1986 "Des lendemains enchanteurs")

fesses d'une jeune fille
"Celui du 30 janvier, de Martaine, et qu'elle a conté le 5 février, coupe les tétons et les fesses d'une jeune fille, les mange, et met sur les plaies des emplâtres qui brûlent les chairs avec une telle violence qu'elle en meurt." (Donatien Alphonse François de Sade, dit Marquis de Sade 1785 "Les Cent Vingt journées de Sodome")

fesses de la fille
"Il fouette avec des verges trempées dans de l'esprit-de-vin, et ne décharge sur les fesses de la fille que lorsqu'il les voit en sang." (Donatien Alphonse François de Sade, dit Marquis de Sade 1785 "Les Cent Vingt journées de Sodome")

fesses de sa femme
"Pendant qu'il enculait le premier, il nous obligea, celui qui restait et moi, à nous emparer chacun d'une des fesses de sa femme et à ne pas ménager les globes charnus qu'il mettait en nos mains, et chaque fois qu'au milieu de ses épisodes il déchargeait dans l'anus de l'un ou de l'autre, la pauvre créature était obligée de recevoir dans sa bouche le foutre qu'il avait laissé." (Donatien Alphonse François de Sade, dit Marquis de Sade 1801 "Histoire de Juliette, ou les Prospérités du vice")







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