ENCHEVÊTRÉ, adjectif
Définition de enchevêtré
| adjectif masculin singulier | |
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Voir
aussi :
Synonymes de enchevêtré
- emmêlé, embroussaillé, mêlé, mélangé, imbriqué, encroué
- embrouille, emmêle, entremêle, entrelace, interpénètre, intrique
- emmêle, embrouille, mélange
Contraires de enchevêtré
- démêle, trie
Exemples d'utilisation de enchevêtré
arbres enchevêtrés"Sans matériel spécifique, ils n'ont pas toujours pu exploiter les arbres enchevêtrés." (Sénat 1994-2005 "Examens de projets de lois et débats")
choses enchevêtrés
"En un clin d'œil, ce fut une cohue, gens et choses enchevêtrés de telle sorte que personne, à vrai dire, ne semblait plus pouvoir passer." (Jules Verne 1906 "Le Volcan d'or")
corps enchevêtrés
"Bientôt sa jeep disparut sous une pyramide de corps enchevêtrés qui s'écrasaient pour toucher le libérateur." (Dominique Lapierre et Larry Collins Lapierre et Collins 1964 "Paris brûle-t-il ?")
filaments enchevêtrés
"ils forment des boucles ou des paquets de filaments enchevêtrés." (Edmond Nocard et Emile Leclainche Nocart et Leclainche 1896 "Maladies microbiennes des animaux")
racines enchevêtrées
"Ondulant, peinant, rompue, dispersée, mêlée ou par groupes, elle roulait à travers les sables rouges du rivage détrempé, les racines enchevêtrées des arbres, l'intervalle et l'épaisseur des buissons, et les mottes gazonnées." (Rudyard Kipling 1895 "Le Second livre de la jungle")
rameaux enchevêtrés
"Je jurai que ce gibier d'un nouveau genre tomberait en mon pouvoir, et, de fait, je parvins à m'en saisir, grâce à la faute qu'il commit en s'engageant dans un massif d'arbustes bas, aux rameaux enchevêtrés." (Léon de Tinseau 1889 "Ma cousine Pot-au-feu")
rues enchevêtrées
"L'offre acceptée, tous trois s'engagèrent à travers les rues enchevêtrées qui rayonnent vers les fortifications de la ville." (Jules Verne 1885 "Mathias Sandorf")
réseau enchevêtré
"Le regard fouille les ténèbres jusqu'au réseau enchevêtré où titubent les pieux, puis se perd." (Roland Dorgelès 1919 "Les croix de bois")
tôles enchevêtrées
"La lumière froide des lampadaires mangeait les visages, faisait briller lugubrement les tôles enchevêtrées." (Pierre Boileau et Pierre Ayraud dit Thomas Narcejac Boileau-Narcejac 1978 "L'âge bête")
