CANADIEN-FRANÇAIS, nom
Définition de canadien-français
| nom masculin singulier | |
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Voir
aussi :
Exemples d'utilisation de canadien-français
(de) contenu canadien-français"au niveau de compétence linguistique et de contenu canadien-français qu'elle possède ou devrait posséder." (Site Web 1995-2007 "Page de Site Web ou newsgroup")
capital canadien-français
"La question nationale repose, par exemple, sur les bases particulières du capital canadien-français tirées de ces recoupements." (Anne Legaré 1977 "Les classes sociales au Québec")
catholique canadien-français
"Certes les fondements théologiques de cette valorisation de la réussite matérielle sont différents d'une ethnie à l'autre, mais si le catholique canadien-français est préservé de l'anxiété du salut, il se sent pourtant dans les " vues " de Dieu lorsque ses affaires vont bien." (Colette Moreux 1982 "Douceville en Québec")
nationaliste canadien-français
"Je reste un nationaliste canadien-français qui ne croit pas au séparatisme et qui se demande comment deux nations peuvent vivre au sein de quelle fédération - deux nations dont l'une est dominatrice et l'autre dominée mais ne veut plus l'être." (Denis Monière 1983 "André Laurendeau et le destin d'un peuple")
roman canadien-français
"Le chef de l'opposition, le sénateur Lynch-Staunton, a parlé d'un processus mettant en cause un ancien premier ministre, et il semble que cette façon désinvolte de diriger les affaires du pays, qui nous met dans l'embarras aux yeux du reste du monde, se poursuit avec le premier ministre actuel puisque ce dernier nous dit que, s'il a décidé de faire cette escapade dans le monde des affaires étrangères, c'est parce qu'il était assis à la maison un soir à regarder la télévision tout en lisant un roman canadien-français intitulé" (Hansard 1996-2005 "Débats du parlement canadien")
canadien-français traditionnel
"Le catholicisme canadien-français traditionnel fortement ritualisé en pratiques collectives enserrait le fidèle dans un réseau d'obligations denses, auquel le contrôle social et la crainte du prêtre ne permettaient guère d'échapper." (Colette Moreux 1982 "Douceville en Québec")
