BELLE-MÈRE, nom
Définition de belle-mère
nom féminin singulier | |
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Exemples d'utilisation de belle-mère
langues de belle-mère"Il coinça Moto-Journal entre les flammes immobiles des langues de belle-mère, turgescentes et bien cirées." (Alain Puiseux 1997 "Je repars à Zorro")
nom de belle-mère
"Madame, c'est avec justice que le Ciel vous a concédé le nom de belle-mère, puisque l'on..." (Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière 1673 "Le Malade Imaginaire")
chère belle-mère
"On respecte beaucoup sa chère belle-mère, On la voit rarement, encor moins le beau-père." (François Marie Arouet, dit Voltaire 1769 "Le dépositaire")
future belle-mère
"Pour éviter le plus léger froissement avec une personne aussi imposante que l'était pour lui sa future belle-mère, il inventa de ces circonlocutions naturelles aux personnes qui n'osent pas aborder de front les difficultés." (Honoré de Balzac 1835 "Le Contrat de Mariage")
jeune belle-mère
"Par une disposition d'esprit qu'on sait n'être pas rare, elle refusa son amitié et sa confiance à sa jeune belle-mère, réservant à sa tante et surtout à son père toute la tendresse de son âme ardente." (Anatole France 1888-1892 "La Vie littéraire")
méchante belle-mère
"Pour la plus grande joie du roi, ils lui furent ramenés et, en punition, la méchante belle-mère fut attachée au bûcher et réduite en cendres." (Jacob et Wilhelm Grimm 1828 "Contes merveilleux")
nouvelle belle-mère
"Quand l'amour m'incita à rallumer pour la troisième fois les flambeaux de l'hymen, j'ai cru que les grands airs de ma nouvelle belle-mère, haute dame belge Buffard des Palombes, imposeraient aux deux premières..." (Eugènie Chavette 1885 "La conquête d'une cuisinière")
pauvre belle-mère
"À peine si les yeux de vot pauvre belle-mère étaient fermés, que v là une vieille qui m'envoie un pot de confitures." (Charles Dickens 1837 "Aventures de Monsieur Pickwick")
belle-mère de mon fils
"Enfin, voilà pourquoi j'ai si vivement insisté auprès de vous pour amener un mariage entre lord Harley et madame la vicomtesse de la Roche-Odon, mais qui était la belle-mère de mon fils." (Hector Malot 1806 "Comte du Pape")